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marivaux

  • De Marivaux

    Il est presque amusant de constater, après l'avoir tout de même un peu lu, après avoir monté Le Legs (en 1996 tout de même) et joué dans L'Île des esclaves, que je n'aimais guère Marivaux, ou pas vraiment, et qu'il m'a fallu, ce printemps, relire, pour des besoins de travail, La Dispute, pour comprendre vraiment (vraiment ?) quel incomparable génie (logicien mais pas seulement) ; et partant pourquoi il avait fallu qu'à ses grandes précision et rigueur fussent adjoints de son temps les talents et la vitalité des Comédiens Italiens, fils de la Commedia dell'arte. 
    Génie pour génie, Marivaux est quand même beaucoup plus agréable à lire que G.W.F. Hegel, par exemple.

    Cette lecture a eu pour conséquence qu'après deux ans d'interruption, j'ai repris l'écriture de mes pièces hyperbrèves où je les avais laissées, aux environs de la 935ème.

    27 juillet 2025