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Vanité des poésies et poursuite du vent

Trouvé cette après-midi aux Emmaüs des Ardennes deux jolis livres de poèmes :
La montagne vide, anthologie de la poésie chinoise IIIè-XIè siècle, traduite et présentée par P. Carré et Z. Bianu, coll. Spiritualités vivantes, Albin Michel, 1987 ;
Poèmes de la mort, de Turold à Villon, choisis, présentés et traduits par J.-M. Paquette, édition bilingue, 10/18, 1979.

270 pages dont une partie est bilingue couvrent cinq siècles de poésie française ; 145 pages, souvent de quelques lignes, couvrent huit siècles de poésie chinoise. C'est peut-être suffisant. Si je lis l'intégralité du recueil des poèmes chinois, que vais-je en retenir ? Combien de lignes ? Si je prends l'autre volume, la danse macabre de l'Ardennais Jean Gerson (1363-1429) est très belle, mais je ne retiens pas son mouvement entier. 
Un recueil des poèmes français les plus intéressants de Villon à aujourd'hui devrait pouvoir tenir en 150 pages (Hugo serait chanceux de ses presque trois pages non bilingues). Cela donnerait peut-être envie de les connaître par cœur. 

12 avril 2025

 

Lien permanent Catégories : Livre

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